Dim Anov n'est pas mon nom véritable, c'est le pseudonyme sous lequel j'écris mes romans. 

Qui je suis importe peu en réalité, mon histoire personnelle n'apporte rien à la compréhension de mes romans. Sachez toutefois que mon amour des mots ne date pas d'aujourd'hui. Ma passion pour l'écriture a démarré dès ma première année de primaire avec la rencontre de Croc Blanc, le roman de Jack London. Cette lecture m'a tellement exalté, que j'ai su sans la moindre hésitation qu'un jour, moi aussi, j'écrirais. Je rêvais même à l’époque de devenir le plus jeune écrivain de France... L'histoire n'en a pas décidé ainsi, mais fort heureusement tout n'est pas perdu puisque je peux encore devenir le plus vieil écrivain de France.

C’est ainsi que durant mes années collèges et lycées, je me suis acharné à noircir feuilles et cahiers... Mais comment rivaliser avec des maîtres comme Zola, Kessel, Sartre, Asimov ou Boris Vian? Que pouvais-je apporter au monde de la littérature, moi qui n’avais encore rien vécu? Mes tournures de styles n'étaient certes pas mauvaises et je ne manquais pas de vocabulaire, tous mes professeurs de français s'accordaient à le dire ... mais pour écrire, avoir du style, cela ne suffit pas. Encore faut-il avoir quelque chose à raconter... c’est du moins ce que je pensais alors.

Finalement la vie m'a emporté dans son tourbillon: études supérieures, amis, travail... j’ai cessé d’écrire jusqu'au jour où je suis tombé sur un de ces fameux petits cahiers à spirales que je croyais perdus... J'ai commencé à lire et soudain au détour d’une page : plus rien. J’avais abandonné en cours de route. La frustration que j'ai alors ressentie m'a fait prendre conscience d'une chose : c’est mon autocensure qui m’avait à l’époque empêché d’écrire, rien d’autre. A vouloir trop bien faire on finit parfois par ne rien faire du tout. Je pris alors la résolution de me remettre à écrire et d'aller jusqu'au bout de mon rêve.

Je m’imposai d’abord d’écrire une histoire de bout en bout, sans me laisser décourager par mon propre esprit critique. J’y parvins et heureux de cette première victoire sur moi-même, je décidai de poursuivre en écrivant une nouvelle, avec l’intention cette fois, de la soumettre à d’autres : "Gigolo". Grace aux encouragements reçus suite à ce premier manuscrit, je me lançai alors dans la composition d’une trilogie fantastique. C’est ainsi qu’est née la saga de Céphréon.

Pourquoi la littérature Fantasy ? Parce que ce genre littéraire m’offre une totale liberté: reliefs, créatures animales et végétales... je n’ai d’autre limite que ma propre capacité créatrice.

Attention toutefois, si vous vous attendez à retrouver les grands classiques du genre, vous risquez d'être déçu : vous ne trouverez dans mes oeuvres ni nains, ni gobelins, ni trolls, ni elfes... vous trouverez certes quelques dragons, mais bien différents de ceux habituellement dépeints !

Mon style : Mes romans vous surprendront sans doute, par leur contenu comme dans leur structure... à vrai dire, j'en suis souvent, moi-même, le premier surpris. Lorsque je démarre une histoire je ne sais jamais où je vais. J'écris comme un comédien improvise : je pars d’un mot dont la consonance m’a ému ou touché... je pose le décor, les personnages et monte progressivement l’intrigue, ne découvrant l’histoire qu'au fur et à mesure que je l'écris. Cela génère des œuvres qui peuvent parfois dérouter mais peut-être est-ce là finalement ma plus grande originalité : sortir des sentiers battus, offrir des écrits moins conventionnels mais également moins prévisibles.

Le public : Mes histoires s’adressent à tous ceux et toutes celles qui ont soif de découvertes, d’aventures et de surprises, car si les mondes et les personnages dépeints dans mes œuvres sont le fruit de mon imagination, les problématiques existentielles qu’ils doivent résoudre sont, elles, des plus contemporaines.

Pour conclure je voudrais remercier, Jeal Design pour la réalisation de ce site, Yohann Plumm pour la réalsation de la vidéo sur Céphréon, le groupe Kiro TV pour la bande son de la vidéo mais aussi Gwen, Françoise, Sylvie et Valérie pour leur relecture, corrections et conseils sans oublier bien sûr tous les lecteurs qui me suivent depuis mes débuts !

Dim